La Convention internationale pour la répression des actes de terrorisme nucléaire est un instrument essentiel s’agissant de prévenir et de réprimer les actes terroristes et autres actes criminels commis au moyen de matières nucléaires ou d’autres matières radioactives. Son efficacité s’affirme un peu plus à chaque fois qu’une nouvelle étape vers l’adhésion universelle est franchie, et l’ONUDC ne ménage aucun effort auprès des États Membres pour promouvoir l’adhésion à la Convention et son application effective.
Le 14 novembre 2023, la République du Congo a déposé son instrument d’adhésion à la Convention par une déclaration adressée au Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies et elle est devenue la 123e Partie à la Convention 30 jours plus tard. Cet événement intervient après plus de cinq années de collaboration visant à faire valoir l’importance de la Convention et ses avantages entre le Programme de prévention du terrorisme chimique, biologique, radiologique ou nucléaire du Service de la prévention du terrorisme de l’ONUDC et les autorités nationales. Outre les échanges bilatéraux fréquents qu’il a eus avec la République du Congo, l’ONUDC a organisé des activités en rapport avec la Convention avec des participantes et participants de haut niveau du pays, telles que l’atelier régional en ligne de 2023 sur l’universalisation et la mise en œuvre efficace de la Convention pour les pays africains francophones qui ne sont pas parties à la Convention, et l’atelier mondial de 2018 de l’ONUDC sur l’universalisation de la Convention internationale pour la répression des actes de terrorisme nucléaire ainsi que de la Convention sur la protection physique des matières nucléaires et de son amendement de 2005.
La coopération entre la République du Congo et l’ONUDC a été rendue possible grâce au soutien du Gouvernement canadien et de l’Union européenne.
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